Même s'il est le fils de l'entraîneur, il ne jouit d'aucun favoritisme et ne parle jamais de l'équipe avec son père.
Les sagas familiales ne sont pas une nouveauté dans le monde du football. Des noms tels que les célèbres Cruyff, Reina, Busquets, Maldini ou Sanchis sont restés actifs durant plusieurs années. A Getafe, on présente son propre exemple, puisque depuis la fin de la saison passée son entraîneur, Míchel, partage le vestiaire avec son fils, Adrián González.
Dans le cas du madrilène, avoir pour entraîneur son propre père est une mauvaise affaire. Tout d'abord parce que les comparaisons sont odieuses et aussi parce que les rumeurs et spéculations sur un hypothétique traitement de faveur sont habituels et réguliers.
En réalité, il s'agit d'un sujet qui a l'habitude de rendre l'ancien membre de 'La Quinta del Buitre' furieux. A la moindre insinuation selon laquelle son fils compte sur la protection de l'entraîneur, Michel se montre tranchant et assure que tous les joueurs sont sur un pied d'égalité: « La relation que nous avons est la même qu'avec n'importe quel autre joueur. Je suis objectif et j'utilise Adrián quand je pense que c'est la meilleure chose à faire pour l'équipe ».
Certaines mauvaises langues assurent que les indices ne trompent pas. Quand Victor Muñoz était entraîneur de Getafe, Adrián est resté en marge (il a seulement joué 67 minutes sur trois matchs); mais avec l'arrivée de Míchel, le panorama a changé et le joueur était enfin convoqué. La journée suivante, il était déjà titulaire au Coliseum face à Osasuna. Son équipe a gagné 3-0, mais le rejeton de l'entraîneur a été expulsé pour deux cartons jaunes. L'équipe a fait appel et le comité a retiré un carton.
Cette saison, on a la sensation que le jeune ailier gauche, de 21 ans, aura un poids plus important au sein de l'équipe. Lors de la première journée, il a joué 81 minutes, lors d'un match où les madrilènes ont gagné 1-4, ce qui leur a permis de devenir leaders de la Liga. Contre Barcelone, lors du match suivant, Getafe s'est incliné sur sa pelouse et Adrián a aussi joué 81 minutes.
Père et fils se sont déjà retrouvés ensemble au Real Madrid Castilla, lors de la saison 2006-07, époque durant laquelle Adrián était devenu l'âme de l'équipe et a même été convoqué avec les professionnels.
Malgré les soupçons, on assura à Madrid que Míchel est une personne exigeante qui déteste les favoritismes. Ce même Míchel a souffert de ces suspicions à son époque en tant que responsable du centre de formation merengue, quand Calderón lui amenait des joueurs afin de passer des épreuves d'admission. L'ancien joueur assure qu'il ne parle jamais de l'équipe avec son fils en dehors du travail, qui ne lui demande même pas au repas s'il jouera au prochain match.
Le secrétaire technique de Nástic, Alfons Muñoz, connaît parfaitement le joueur de son époque à Tarragone: « Techniquement, il est très bon, il a une puissance de frappe et une précision sur les centres qui rappellent son père ». Muñoz assure que « Adrián ne parlait jamais de son père, même si Míchel est plusieurs fois venu le voir jouer au Nou Estadi ».
Ainsi, les rivaux de Getafe devraient se méfier de cet ailier droit qui, même s'il ne joue pas avec le même pied que son père, semble avoir hérité d'une habilité dangereuse pour les centres de son couloir. A 21 ans, Adrián a commencé à assumer qu'il sera impossible d'éviter les comparaisons avec son père.
Les sagas familiales ne sont pas une nouveauté dans le monde du football. Des noms tels que les célèbres Cruyff, Reina, Busquets, Maldini ou Sanchis sont restés actifs durant plusieurs années. A Getafe, on présente son propre exemple, puisque depuis la fin de la saison passée son entraîneur, Míchel, partage le vestiaire avec son fils, Adrián González.
Dans le cas du madrilène, avoir pour entraîneur son propre père est une mauvaise affaire. Tout d'abord parce que les comparaisons sont odieuses et aussi parce que les rumeurs et spéculations sur un hypothétique traitement de faveur sont habituels et réguliers.
En réalité, il s'agit d'un sujet qui a l'habitude de rendre l'ancien membre de 'La Quinta del Buitre' furieux. A la moindre insinuation selon laquelle son fils compte sur la protection de l'entraîneur, Michel se montre tranchant et assure que tous les joueurs sont sur un pied d'égalité: « La relation que nous avons est la même qu'avec n'importe quel autre joueur. Je suis objectif et j'utilise Adrián quand je pense que c'est la meilleure chose à faire pour l'équipe ».
Certaines mauvaises langues assurent que les indices ne trompent pas. Quand Victor Muñoz était entraîneur de Getafe, Adrián est resté en marge (il a seulement joué 67 minutes sur trois matchs); mais avec l'arrivée de Míchel, le panorama a changé et le joueur était enfin convoqué. La journée suivante, il était déjà titulaire au Coliseum face à Osasuna. Son équipe a gagné 3-0, mais le rejeton de l'entraîneur a été expulsé pour deux cartons jaunes. L'équipe a fait appel et le comité a retiré un carton.
Cette saison, on a la sensation que le jeune ailier gauche, de 21 ans, aura un poids plus important au sein de l'équipe. Lors de la première journée, il a joué 81 minutes, lors d'un match où les madrilènes ont gagné 1-4, ce qui leur a permis de devenir leaders de la Liga. Contre Barcelone, lors du match suivant, Getafe s'est incliné sur sa pelouse et Adrián a aussi joué 81 minutes.
Père et fils se sont déjà retrouvés ensemble au Real Madrid Castilla, lors de la saison 2006-07, époque durant laquelle Adrián était devenu l'âme de l'équipe et a même été convoqué avec les professionnels.
Malgré les soupçons, on assura à Madrid que Míchel est une personne exigeante qui déteste les favoritismes. Ce même Míchel a souffert de ces suspicions à son époque en tant que responsable du centre de formation merengue, quand Calderón lui amenait des joueurs afin de passer des épreuves d'admission. L'ancien joueur assure qu'il ne parle jamais de l'équipe avec son fils en dehors du travail, qui ne lui demande même pas au repas s'il jouera au prochain match.
Le secrétaire technique de Nástic, Alfons Muñoz, connaît parfaitement le joueur de son époque à Tarragone: « Techniquement, il est très bon, il a une puissance de frappe et une précision sur les centres qui rappellent son père ». Muñoz assure que « Adrián ne parlait jamais de son père, même si Míchel est plusieurs fois venu le voir jouer au Nou Estadi ».
Ainsi, les rivaux de Getafe devraient se méfier de cet ailier droit qui, même s'il ne joue pas avec le même pied que son père, semble avoir hérité d'une habilité dangereuse pour les centres de son couloir. A 21 ans, Adrián a commencé à assumer qu'il sera impossible d'éviter les comparaisons avec son père.